top of page
old-age-gea965c663_1920.webp

TROISIÈME ET QUATRIÈME ÂGE

Reconnaître aux 17,8 millions de retraités la qualité et le statut de troisième partenaire social officiel.
Leur donner à parité avec les deux autres partenaires (syndicats de salariés et organisations professionnelles d’employeurs) l’accès au Conseil Économique Social et Environnemental, au Conseil d’Orientation des Retraites, au Comité de Suivi des Retraites, à toutes les caisses qui les concernent sans exception (qu’elles soient de base comme les Caisses Nationales d’Assurance-Vieillesse ou ­d’Assurance-Maladie ou complémentaires, privées ou publiques), y compris la future Caisse Nationale de Retraite Universelle, qui en l’état usurpe doublement et honteusement son appellation puisque, sans les 18 millions de retraités, elle ne peut bien évidemment se prétendre ni nationale ni universelle.
Garantir par la Constitution et au titre de la solidarité intergénérationnelle, le maintien absolu du pouvoir d’achat des retraités face à l’inflation.
Il s’agit notamment, en le gravant dans le marbre de la Constitution, d’interdire toute discrimination fiscale ou sociale (exemple la dernière majoration de CSG), dont le poids effectif et définitif pèserait uniquement sur les retraités.
Revaloriser le statut et le salaire des aides à domicile qui s’occupent de personnes en situation de dépendance.

TROISIÈME ET QUATRIÈME ÂGE: Actualités
bottom of page