Aude législatives 2024 2nd circonscription de l'Aude Jean LASSALLE avec Gérard Lenfant et Annabelle Fillou
30 Juin et 7 juillet 2024
RELANCER LA RECHERCHE
Préparer la transition énergétique du nucléaire
Rénover pour se préparer à prolonger au maximum de 25 ans les centrales nucléaires car…
il faut miser sur les énergies renouvelables
Stopper l’éolien. Il convient dès à présent d’interdire les projets éoliens non validés par les maires, après consultation des habitants. Développer la recherche fondamentale sur l’énergie photovoltaïque afin de vérifier sa viabilité et sa rentabilité. Développer l’énergie solaire (production et stockage) avec pour objectif de créer des centrales solaires. Développer l’énergie de la mer (houle, écart thermique entre la surface et les grands fonds, etc.). Exploitons l’atout précieux que constitue notre façade maritime. La puissance de la houle représente cinq fois l’énergie produite par l’Homme.
Développer la recherche en matière de milieu océanique et de biodiversité marine
Mers et fonds sous-marins sont un trésor inexploré qui renferme les secrets de notre passé et de notre avenir. La France, deuxième façade maritime du monde, en détient 11 millions de kilomètres carrés. L’énergie de la mer, en mouvement incessant, avec son littoral et ses formidables gradients thermiques est un champ de recherche prodigieux. En outre, de multiples espèces sous-marines restent à découvrir. Les algues et l’aquaculture n’ont pas livré tous leurs secrets en matières alimentaire, énergétique et pharmaceutique. De même, nous devons étudier la façon dont les courants océaniques dictent nos climats, affectés par l’activité humaine…
Développer la recherche spatiale dans un esprit pionnier et souverain
Afin de ne plus laisser cet univers être exploité par de riches milliardaires aux fins commerciales et personnelles
Lancer des appels d’offres pour la recherche pharmaceutique sur les maladies orphelines, au lieu des actuels crédits d’impôts
Il s’agit d’orienter les chercheurs vers les enjeux de santé les plus urgents et non plus vers les marchés les plus lucratifs. Les conclusions de la Recherche appartiendront ainsi aux pouvoirs publics au lieu d’être le jouet d’une spéculation entre fonds internationaux.
Libérer le savoir issu de la Recherche publique, en garantissant son libre accès en ligne
Les avis des internautes sur tel ou tel sujet sont consultables gratuitement alors qu’il faut payer 40 ou 50 euros pour lire l’article d’un chercheur rémunéré sur les fonds publics. Il faut y remédier.
Créer une commission réunissant l’ensemble des acteurs concernés, habilitée à lever les brevets dont l’usage et l’exploitation sont vitaux